Si les agressions de patients sont rares, on peut s’en prémunir.
Quand elles ont su qu’une psychothérapeute avait été tuée par un patient
dans son cabinet parisien, Marie M., psychologue, et ses trois consœurs
– dont une psycho-sexologue – ont souhaité «sécuriser» le centre de
consultations qu’elles partagent dans les Hauts-de-Seine: «Nous avons
décidé d’aller au commissariat dont nous dépendons pour nous faire
connaître et voir si nous pouvions être reliées avec l’équipe de police
grâce à une ligne téléphonique directe», explique Marie M.,
reconnaissant que ce fait divers «avait éveillé des peurs jusque-là
inconnues».
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