À l’adolescence, rien n’est encore figé, il est donc primordial d’empêcher qu’un trouble devienne chronique. En privilégiant, les approches non médicamenteuses.
Chez les jeunes souffrant de troubles mentaux, les risques potentiels liés aux médicaments psychotropes sont encore plus importants que chez les adultes. C’est pourquoi la prudence est de mise. Dans la dépression par exemple, depuis qu’une méta-analyse publiée dans JAMA en 2007 a montré une légère augmentation des idées suicidaires chez les jeunes traités par antidépresseurs, leur prescription chez les enfants et les adolescents doit se faire en deuxième intention seulement, après une psychothérapie. « Des études ultérieures, réalisées dans différents pays (Etats-Unis, Angleterre, Chine, Inde…) ont montré des résultats contradictoires, le débat n’est donc pas tranché.
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