L’ « Agence nationale de psychanalyse urbaine » (ANPU) s’est penchée sur le cas du « Grand (pas) Marseille » pour détecter les névroses de la cité phocéenne et de ses voisines. Un vrai travail d’enquête restitué lors d’une « conférence-polémique » menée par le turbulent Laurent Petit. Entrée libre sans ordonnance.
Quelle est donc cette « psychanalyse urbaine » dont vous êtes l’inventeur ?
Laurent Petit : On met une ville sur le canapé et on la fait parler. Mais faire parler une ville, c’est faire parler ses habitants. Pour ça, on a mis au point un protocole en deux parties. On commence par aller voir des experts (mairie, archives, urbanistes, etc.) et ensuite, on va à la rencontre des gens, dans la rue.
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